Alors l’histoire est relativement libre, je vous donne seulement quelques petites pistes modifiables si vous le voulez. Bref, si vous voulez plus de précisions par la suite vous pouvez toujours me Mpotter sans aucun soucis.

→ Il peut être né n’importe où (du moment que c’est en France), mais c’est à Paris qu’il vit depuis son enfance.

→ Il a été envoyé au front durant la guerre. Il a dû être rapatrié suite à une blessure par balle qui c’est gravement infecté. Il a été dans le coma durant quelques mois suite à cela.

→ Depuis cette accident il garde toujours le sourire, il plaisante avec tout le monde, rit de tout et de rien, pour lui c’est un peu comme un remède pour oublier la guerre et son passé.

→ Il aime la vie mais surtout il adore se la compliquer et sans le vouloir en plus. Lorsqu’il y a une broutille qui arrive c’est toujours sur lui que ça tombe. Il ne compte plus le nombre de fois ou il a du aller au poste de police pour porter plainte pour des vols ou autre. Il en connait presque tous les policiers par leur prénom xd

Bleuann Oxalide AMARTINELL ft Ashley Greene
Pour le scéna’ le perso’ est nommé Antoine pour plus de clarté mais le prénom est au choix comme stipulé au dessus.

« Embrasse-moi ». Je le regarde avec insistance, un nœud au creux de l’estomac. Je sais que c’est mon cousin je sais que ce genre de chose n’est pas permise, mais je sais aussi que je m’en fou. Je vois son regard se plonger dans le mieux sur son visage je peux appréhender un sourire qui prend peu à peu forme. Je réitère alors avec insistance comme pour lui prouver que je ne plaisante pas « Embrasse-moi ». Son regard rieur c’était dissimulé, laissant place à l’incompréhension je crois. C’est idiot, mais cela était tellement simple de lire dans son regard et c’est la même chose pour lui avec moi d’ailleurs. On a toujours été sur la même longueur d’onde, on s’est toujours compris. « Tu es complètement folle Oxa’… ». Je me rebiffe, retroussant mon nez, comme vexé de ses propos. Je suis sûrement bien des choses mais pas folle ! M’approchant de lui et gardant mon regard dans le sien je poursuis sur le même ton « Dis moi que tu n’en as pas envie toi et… » Je n’ai pas le temps de clore ma phrase qu’il en vient à surenchérir derrière. « Ce n’est pas une question d’envie Oxalide, tu es ma cousine et qui plus est je suis le plus vieux, si cela venait à s’apprendre… » Je ne le laisse pas terminer que ma bouche se colle à la sienne. Il ne me repoussa pas non loin de là …

« Je t’aime ». Ces mots raisonnent dans mon esprit comme un tambour que l’on aimerait arrêter. Je haie ces mots, ils n’ont jamais été signes de bons présages pour moi. Blottie dans ses bras, j’avais pourtant pas envie de le blesser ou autre, mais je crois que c’est plus fort que moi « Ferme là ! ». Je sentie ses muscle se contracter je pense qu’il ne s’attendait pas vraiment à ça comme réponse, mais que puis-je y faire, je ne sais de toute façon pas dire ‘je t’aime’ bien que les sentiments soient là. « Ecoutes Antoine si je te dis que je t’aime tu partiras, car les hommes partent toujours. Alors contentons nous de l’instant en évitant de le gâcher avec des mots inutiles. ». Une petite voix dans la tête me hurlait que j’étais une idiote, mais je m’en fiche c’est tellement plus simple ainsi. Je suis bien à ses côtés je l’ai pas envie de le perdre pour des sentiments stupides …

« Je t’aime ». Mon regard était plongé dans le sien, ses mots m’avaient brûlés les lèvres depuis si longtemps, j’avais juste envie de lui dire, je n’avais plus peur je sais qu’il était là. Seulement son visage était fermé, comme … déçu. Je ne compris pas tout de suite, il a fallut pour cela qu’il prenne la parole. « J’ai rencontré quelqu’un Oxa’ ». Je sens les larmes me nouer la gorge. Je l’avais perdu alors ? Je rassemble mes affaires, pour fuir, oui c’est cela j’avais envie de le fuir je ne voulais pas entendre un mot de plus sortir de sa bouche. « Où tu vas bordel ? Tu savais que ça finirait un jour Bleuann, rien ne dure éternellement… » Je tente alors de me calmer j’avais envie de fondre en larme, pourtant je n’ai aucune envie de lui montrer que ça me touche. « Je rentre chez moi ! Oui c’est ça ! Tu sais quoi, devient l’un de ses connards de maris, qui se noient dans l’ennui avec ta petite … Oh et puis merde ! ». J’avais claqué la porte de chez lui et était partie. Je ne l’ai revue que quelques fois dans Paris avec sa nouvelle petite-amie accrochait au bras. Pour me venger j’ai pris le premier homme qui me venait, espérant ainsi le blesser, non en fait j’espérais simplement qu’il me reviendrait, mais ce n’était sûrement pas la bonne méthode…

(A savoir, ils sont amoureux l’un de l’autre, mais aucun ne compte l’avouer le premier. Lui est avec une autre pour oublier Oxalide, quant à elle, elle est avec un autre dans le but de le rendre jaloux ce qui fonctionne assez bien. Ils ne sont pas obligés de former un couple ou autre par la suite, le lien est très libre ^^)

Alors l’histoire est relativement libre, je vous donne seulement quelques petites pistes modifiables si vous le voulez. Bref, si vous voulez plus de précisions par la suite vous pouvez toujours me Mpotter sans aucun soucis.

→ Il est né en Allemagne et a vécu là-bas jusqu’à il y a peu de temps.

→ Il a été marié de force dans son pays natale afin que sa famille et celle de sa « femme » puissent s’allier financièrement. Il ne l’a pas supporté longtemps et a profité de la guerre pour se faire porté pour mort.

→ Il est arrivé en France et plus précisément à Paris sans un sous en poche. Il a longtemps vécu sous les ponts, se nourrissant grâce à la vente médiocre des quelques toiles qu’il réalisait.

→ Dans la rue il va découvrir l’alcool et la drogue. Il a emprunté beaucoup d’argent à des dealers et autres dans Paris. Aujourd’hui il a des dettes par-dessus la tête à tous les drogués de la ville. Il n’est pas rare qu’il en croise un et lorsque c’est ça les choses tournent presque toujours à l’affrontement. Il a de nombreuses blessures sur le corps qui prouvent toutes ses malencontreuses rencontres. Il n’en a jamais parlé à personne.

Bleuann Oxalide AMARTINELL ft Ashley Greene
Pour le scéna’ le perso’ est nommé Sören pour plus de clarté mais le prénom est au choix comme stipulé au dessus.

« Peine de cœur ? » Je relève les yeux, à moitié accoudé au comptoir, je ne sais pas depuis combien de temps je suis là, ni même combien de verre j’ai pu ingurgiter. Cette voix et chaude, comme sortie de nulle part. Peine de cœur ? Etrangement les quelques derniers mots d’Antoine me reviennent en tête, comment ai-je pu être si idiote ? Oh et puis je m’en fiche ! « Qu’est-ce qui vous fait imaginer une ânerie pareille ? » Je lui sourie telle une intouchable, je n’ai pas pour habitude de parler de moi et encore moins à de pur inconnu. Il a un visage d’ange, une voix tendre, mais depuis toujours on m’a appris à me méfier d’autrui. « Lorsqu’une femme boit c’est en général pour oublier un homme non ? ». Mes yeux sont plongés dans les siens, je ne compte plus le nombre de verre que j’ai bu, mes idées ne sont sûrement plus très claires, mais une chose est certaine, je ne supporte pas que l’on me psychanalyse. « Pour qui tu te prends ? ». Je ne suis plus maître de moi depuis quelques heures à présent. Les personnes autour de moi s’effacent une par une et bien que je ne l’aurais jamais reconnu, j’avais l’impression d’être seule avec lui. L’alcool donne de tas d’hallucinations que l’on ne maîtrise pas. « Ton sauveur ? ». Je le regarde de haut comme d’habitude. Haussant les épaules et lançant l’un de ses regards méprisants qui deviennent presque ma marque de fabrique, j’ajoute sur un ton cassant. « Je n’ai pas besoin d’être sauvé ! ». Je me lève titubant légèrement, la porte de sortie me parait si loin et jonchée de tant d’obstacle. Je suis méprisable, je bois pour oublier qu’il en aime une autre, je bois pour oublier que je suis seule… oublier. Alors que je récupère mon sac à mains, le jeune homme m’attrape la main pour y griffonner quelques choses et me lancer. « Tu m’appelleras ! ». Je regarde les gribouillis sur ma main, un prénom et un numéro de téléphone… Son affirmation résonne dans ma tête l’appeler ? Peut-être lorsque j’aurais les idées plus claires pour m’excuser ? Il le faudrait je pense. Plutôt mourir ! Je finie par le regarder une dernière fois en lancer un bref, « Va te faire voir ! ». Pas très féminin, je l’avoue mais je m’en contrefiche !

Je l’ai rappelé quelques jours après, je ne serais dire pourquoi, mais c’était comme une évidence. Sören était apparu comme ça, sans que je ne l’attende, sans que je le cherche. On c’est vu, oui même plusieurs fois. Avec lui j’oublie tout, Antoine, le mal que cela procure, la peine que m’inflige chaque souvenirs qui me mènent mon cousin. Seulement nos caractères respectifs sont très opposés, entre nous c’est un peu Bonnie and Clyde, amour orageux dangereux, destructeur, terroriste… Il détruit mais il procure un bien être sans borne. Des amants terribles voilà ce que nous devons être. Il ne sait rien de moi, il ne sait rien pour Antoine, car je sais que si je venais à lui en parler il partirait. Je ne veux pas le voir partir… Jamais je n’aurais pu oublier Antoine dans les bras qu’un autre que Sören. Je ne sais pas ce qui se passera si mon cousin apparaissait soudainement dans notre « relation », cela fera certainement des étincelles, je le perdrais peut-être... Mais ce que je sais c’est que je m’en fiche, je ne veux pas penser à demain avec lui. « Vous avez lu l'histoire de Jesse James, comment il vécut, comment il est mort? Ça vous a plu, vous en redemandez encore? Et bien voici l'histoire de Bonnie and Clyde. »

Alors l’histoire est relativement libre, je vous donne seulement quelques petites pistes modifiables si vous le voulez. Bref, si vous voulez plus de précisions par la suite vous pouvez toujours me Mpotter sans aucun soucis.

→ Elle est née à Londres après une mutation impromptue de son père, mais toute sa famille est originaire de Bretagne, toutes ses origines se tournent donc vers la France.

→ Elle a toujours été beaucoup plus proche de sa mère que de son père. Elle n’a d’ailleurs pas beaucoup connu ce dernier qui était toujours en déplacement et le peu de temps qu’il passait chez eux il était avec Oxalide.

→ Ambroise et Oxalide n’ont jamais été très proches l’une de l’autre. Ambroise était traité comme une petite princesse, avec toute l’élégance qui la caractérise si bien, alors qu’Oxalide a toujours été un garçon manqué préférant sauter pied joint dans une flaque de boue plutôt que de passer des heures derrière un miroir. Pourtant toutes les deux s’aiment beaucoup et se respectent mutuellement. Oxalide l’a toujours appelé « ma petite fleure » lorsqu’elle parlait d’Ambroise, seulement elles ont toujours été trop opposé pour se comprendre.

→ Lorsque son père et sa sœur ont quittés Londres pour rejoindre l’Allemagne pour l’emploi de son père (voir histoire d’Oxalide), la jeune adolescente qui avait environ 13 ans s’est retrouvée seule avec sa mère.

→ Un peu plus tard sa mère va tomber malade, Ambroise va la veiller jusqu’à son dernier souffle, pour elle c’est l’épreuve la plus dure qu’elle ait eu à vivre. Pour cela elle en veut beaucoup à son père mais surtout à sa sœur.

→ Elle est venue il y a environ 2 ans à Paris afin de retrouver sa sœur, pour enfin lui dire tout ce qu’elle a sur le cœur. Seulement jusqu’à présent elle n’a pas encore réussi à mettre la « main » dessus.

Ici vous pouvez écrire la relation que vous avez avec le personnage. Comme pour l'histoire c'est une scroll barre donc ne vous limitez pas à un nombre de ligne. N'hésitez pas à développer, à y mettre des dialogues et autre. Bref, vous êtes totalement libre, vous êtes chez vous =D Puis vous connaissez le système c'est pareil partout non ?!

Bleuann Oxalide AMARTINELL ft Ashley Greene

Description de la relation entre les deux personnages