CHAPITRE I :: C'est de l'identité qu'est née la différence. ” .

Paolo Fabio CALVETTI « You can't Always get what You want. . On dit que j'ai vingt-deux ans, je viens de Naples , personne n'a dis que l'on avait que des points communs. Dans la vie ? Je suis serveur au café de la Gare ce n'est pas le nirvana, mais on dit que cela rapporte bien ! Le jeune homme est un passionné d'écriture et ne se confie qu'à ses textes. Vous pouvez être sûr que vous ne perdez pas votre temps en accordant votre confiance à Paolo, il est et sera toujours là pour les personnes qu'il aime, même si ses défauts le rattrapent bien trop souvent. Même s'il se montre fort et renfermé, il lui arrive des jours où tout l'énerve et où il craque.

Ft CHAD M. MURRAY :: © LAORA.

CHAPITRE II :: Aucune grâce extérieure n'est complète si la beauté intérieure ne la vivifie.” .

La vie n'a pas toujours sourit à Paolo. Mais malgrè ça, le jeune homme reste plus fort que possible et ne baisse jamais les bras. Il n'aime pas étaler ses problèmes et ses soucis, il n'aime surtout pas parler de sa vie, alors ce n'est qu'en lui tirant les vers du nez que vous saurez quelques bribes de la vie de Paolo. Ce qu'il aime avant tout, c'est du bien-être des autres. Il s'est pratiquement toujours débrouillé seul, alors pour se rattraper, il s'occupe des autres, même s'il a grandement besoin d'être aidé. Le problème, c'est qu'il n'avoue pas avoir besoin d'aide. C'est quelqu'un de très calme, qui se met sur les nerfs que très rarement. N'ayant pas eu une vie facile, il essait de se rendre utile auprès des autres et sert d'épaules lorsque que quiconque a besoin de se confier. Tandis que lui, ce n'est jamais le premier pour se confier. Aimant l'écriture, dans ses textes, on ressend la souffrance qu'il a eu dans son enfance et ce manque d'entourage et de famille. Il n'arrive à se confier qu'à travers ses textes, même s'il ne les fait lire à personne. Lorsqu'il aime et lorsqu'il est fort attaché à des personnes, ses défauts ressortent plus vite qu'il le veuille. Il est très jaloux et n'aime pas souvent partagé. Il a un certain défaut à s'attacher d'une façon tellement forte qu'il en souffre. A cause de son passé, il s'accroche aux gens le plus possible, n'ayant pas pu le faire auparavant. Et au final, il en souffre toujours. Ce qu'il aimerait c'est rendre la vie des gens plus facile, sachant par quoi il est passé. Il sera toujours là pour les gens qu'il aime, mais lui, il ne veut surtout pas confier sa vie, même aux gens qu'il aime. Il ne veut embêter personne avec ces histoires sordides mais surtout, il veut oublier tout ça. Toute cette histoire, cette jeunesse qu'il a passé, a rendu le jeune homme fort, trop fort peut-être mais surtout renfermé sur lui-même, qui cache souvent trop bien ses peines, pour ne pas les avouer.

CHAPITRE III :: Chaque biographie est une histoire universelle.” .

Une salle pas rassurante du tout où plusieurs personnes attendaient patiemment qu’on vienne les chercher ; une femme installée à la réception et qui répondait au téléphone quand ce dernier se mettait à sonner ; puis un jeune homme qui répondait au prénom de Paolo était installé depuis quelques minutes sur l’un de ces sièges libres. Les minutes se faisaient éperdument longues et le temps passait à une allure plus réduite que d’habitude. L’endroit où il se trouvait ne le rassurait pas pour autant, ni les personnes qui étaient présentes. Une porte s’ouvrit, tout à coup, laissant apparaître une jeune femme qui venait de laisser les larmes lui envahir le visage et derrière elle, le médecin. Une jeune femme qui supportait tout ceci. Une jeune femme qui faisait un tel métier, se devait d’être forte moralement, surtout pour entendre et comprendre ses clients qui venaient lui raconter leurs mésaventures. Et c’était ce que Paolo était venu faire. Depuis quelques semaines, le jeune homme n’est pas au plus haut de sa forme. Faut dire qu’il était dans une assez mauvaise période de sa vie et le peu d’amis qu’il avait leur avait conseillé d’aller voir un psychologue, afin de pouvoir parler avec confiance et de comprendre certaines choses que lui seul était incapable de comprendre. Alors il était venu, mais une fois assis sur ce siège, il n’avait qu’une seule envie, repartir aussitôt d’ici, en courant. Parce qu’avouer qu’on a besoin d’aide, c’est avouer qu’on est faible. Et Paolo n’est pas quelqu’un de faible. Mais Paolo en avait vraiment besoin. La tête entre les mains, le jeune homme attendait impatiemment son tour. « Mr Calvetti s’il vous plait. » Se redressant, le jeune homme se leva de son siège, regardant les autres clients. Entrant dans le cabinet, le jeune homme referma la porte derrière lui. A l’intérieur, un long canapé en cuivre occupait presque tout l’espace de la pièce. Juste derrière, un bureau avec des feuilles posées de part et d’autre du bureau. Et un fauteuil installé juste à côté du canapé. « Prenez place, jeune homme. Dit le médecin. C’est bien la première fois que vous venez ici, n’est-ce pas ? » Le jeune homme hocha la tête. « Bien, alors on va commencer tranquillement. Vous allez vous allonger sur ce canapé et je vais vous poser quelques questions vous concernant. Sachant que c’est votre première séance, vous allez sans doute penser que je pose des questions indiscrètes. Donc si jamais, vous voulez arrêter à n’importe quel moment, vous le dîtes et on arrêtera. Ce n’est pas si difficile que ça. » Le jeune homme, aussitôt rassuré, s’installa sur ce canapé et attendit la première question. « Vous pouvez vous présenter ? Et me parler un peu de votre vie si vous le souhaitez. » « J’m’appelle Paolo, comme mon grand-père paternel. J’ai vingt-deux ans et je suis né en Italie, à Naples. J’ne peux pas dire que j’ai toujours eu une vie facile et spontanée, au contraire. A la base, ma mère désirait plus que tout une petite fille, à ma naissance et c’est bien pour cela qu’elle n’a jamais voulu savoir le sexe du bébé qu’elle attendait. Mais je le sentais, dans ce qu’elle faisait pour moi, du comment elle s’occupait de moi. » « Et votre père ? » « Mon père ? … C’était un homme extraordinaire qui se souciait toujours des autres et moins de lui-même. Des personnes comme lui sont rares, extrêmement rares. Je n’ai pas vraiment le temps de profiter de mon père, ni qu’il ait eu le temps de m’apprendre ce qu’était réellement la vie, ni de me voir grandir. A l’âge de cinq ans, mon père nous quitta pour rejoindre le paradis. Tragique accident, dirais-je. » Un silence long et froid s’installa. « En fait, j’me rends compte que j’m’en suis jamais réellement remis. Et encore moins ma mère. Depuis la mort de mon père, ce n’est plus une mère que j’ai, c’est une femme constamment saoule et dépressive. Elle a du mal à reprendre le dessus et je crois bien que malheureusement, elle n’y arrivera jamais. » « Personne ne l’aide, votre mère ? » « On voudrait l’aider, mais elle refuse catégoriquement. Lorsqu’on lance le sujet qu’elle devrait se faire soigner ou arrêter de boire ou autre, elle se met directement sur les nerfs et devient encore plus insupportable que lorsqu’elle a bu. Parce qu’avant que je n’ai mes dix-huit ans, … ma mère passait son temps dans les bars, … et lorsqu’elle revenait, … complètement ivre bien entendu … comment dire ; elle passait ses nerfs sur moi, en me frappant. » « Cela a durait combien de temps ? » « Beaucoup trop longtemps. J’avoue qu’au début, j’me laissais faire, pensant que si je me rebellais et disais quelque chose, elle tenterait de me tuer ou de bien pire encore. Alors j’me laissais faire et la laisser prendre des cachets et se saouler. Je ne cache pas que toute cette histoire me déchirait. Mais puisque c’était sa seule issue pour oublier la mort de mon père. Seulement, voilà, plus les coups arrivaient et moins j’me laissais faire. Même si je n’avais plus que ma mère, j’en avais assez qu’elle lève la main sur moi. Alors les jours de mes dix-huit, ce jour que j’attendais depuis si longtemps. J’me suis enfui de chez moi, j’avais écris à ma mère et puis j’étais parti. J’en avais assez de tout ça. J’en avais marre de voir ma mère crever à petit feu devant mon nez et à me mettre des coups presque tous les soirs. » « Qu’avez-vous fait ensuite ? » « J’ai pris ma vie en main, comme on peut dire. J’ai fait des études et même si j’en avais gros sur le cœur d’avoir laissé ma mère seule avec son désespoir, j’me sentais vivre la vie que je voulais. La vie que me menait ma mère était loin de me plaire. » « Et ensuite ? Après vous études ? » « J’ai une passion pour l’écriture. Et sachant qu’il n’y a pas vraiment de débouchés pour ça, j’ai eu un diplôme. Puis, c’est à ce moment là de ma vie, que j’ai fais des rencontres formidables. » « Et maintenant ? » « A l’université, j’ai fais la rencontre d’une jeune femme formidables. Aussi battante que possible alors qu’à elle non plus, la vie n’a pas été si facile et spontanée. Et je crois que c’est sur ce fait là que l’on s’est de suite bien entendu. Elle avait un frère, avec qui je m’entendais plutôt bien. On passait énormément de temps ensemble, à se parler ou à déconner. Puis lorsque l’on a eu notre diplôme, tout a changé. On se voyait moins, donc se parler moins, alors que peut-être j’en avais et j’en ai toujours, grandement besoin. Puis un jour, j’ai appris qu’elle était partie, sans donner aucune raison. » « Et vous l’avez recherché ? » « Et bien, en réalité, un jour, un jeune homme est venu me voir pour savoir si je savais où était partie Anouchka. Je n’en savais absolument rien. Ce jeune homme qui devait avoir mon âge, m’avoua qu’il était le mari d’Anouchka et qu’il fallait à tout prix qu’il la retrouve. Elle ne m’avait jamais dit qu’elle s’était mariée » « C’est à ce moment là que vous avez compris les sentiments que vous avez pour elle, je me trompe ? » « Vous avez parfaitement raison. Quand ce jeune homme est venu me voir puis me dire qu’ils étaient mariés, j’ai pris un coup, comme ceux que ma mère me mettait. Et là, j’ai de suite su qu’il fallait que moi aussi je la retrouve à tout prix. Pour lui dire ce que je ressentais. C’est par son frère que j’ai su qu’elle était ici, sur Paris. Alors n’ayant rien qui me retenait à Naples, j’ai tout lâché pour venir la chercher, à Paris. » « L’avez-vous retrouver ? » « Pas encore, mais je ne baisse pas les bras, ce n’est pas mon genre. Ce dont je crains, c’est ce jeune homme qui se dit être son mari. Je ne sais absolument pas s’il l’a retrouvé et ce qu’il est devenu. » « Et bien, Paolo, je vous souhaite de la retrouver. Bon, et bien je crois que pour une première séance, vous en avez suffisamment dit. Revenez quand vous voulez jeune homme. »

CHAPITRE IV :: La force, elle nous vient des autres.” .

© CREATEUR

C'est à l'université que les deux jeunes gens se sont adressé la parole pour la première fois. Ce qui les rapprochaient était le fait qu'ils aient tous les deux des vies pire que chaotique. Paolo avait su être là pour la jeune femme et cette dernière s'était confié à lui. Mais, lui, il n'a absolument dit sur son passé, bien trop dur à raconter et compliqué. mais cela n'a pas empêché les deux jeunes de très très bien s'entendre. Au contraire, Anouchka était un peu la seule personne sont la présence apportait énormément de bien au jeune homme. Mais lorsqu'ils eurent finis leur cursus à l'université, ils ont bien dû se quitter, se promettant de se revoir aussi souvent que possible. Malheureusement, ils furent bien trop occuper pour tout cela. Puis un jour, Anouchka mit les voiles et parti, sans aucune raison. C'est grâce au frère de la jeune femme que Paolo sut où elle se trouvait. Mais bien avant, il rencontra l'époux de la jeune femme, qui lui fit prendre conscience des sentiments qu'il pouvait bien ressentir pour cette dernière. Décidé à la revoir et à lui avouer son amour pour elle, il met à son tour les voiles et le voilà sur Paris, à la recherche de la jeune femme.

CHAPITRE V :: Sur l'apparence est bien fou qui se fonde.” .

« I get by with a little help from my friends. . D'abord, j'm'appelle Justine et j'ai 18 ans. Autrement dit, je passe mon Bac à la fin de l'année. --' On m'surnomme Patrick, oui oui, celui de Bob L'éponge. Ne me demandez pas pourquoi, je ne le sais même pas moi-même. J'me sens obligée de dire que j'suis une inconditionnelle fan des Beatles et de Muse. C'était la parenthèse. ^^ Ce qui m'a plu dans votre forum, c'est le design et le contexte. :) Vous m'direz en même temps, si je n'avais pas aimé, je ne serais peut-être pas là. Bref. A part ça, moi, j'aime les Bisounours. :P Ah oui, sachant que je passe le Bac à la fin de l'année, je serais un peu moins disponible la semaine. Surtout que là, je suis en vacances, mais à la rentrée, j'ai un Bac Blanc, donc je ne serais pas disponible comme j'aimerais l'être --'

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